Les services de la résidence Jean XXIII
- Chambres fonctionnelles
- Prises téléphone et TV
- Salle d’eau complète et adaptée
- Possibilité de personnaliser les chambres (petits meubles, bibelots,…)
- Plusieurs salles d’animations
- Plusieurs salons pour recevoir les proches
- Un salon télévision
- Grand parc arboré
- Jardin thérapeutique
- Salons de jardin
- Présence d’animaux
- Restauration préparée sur place sous la responsabilité d’un chef cuisinier
- 5 salles de restauration
- Une salle à manger des familles
- Respect des régimes alimentaires
- Petit-déjeuner servi en chambre
- Entretien des espaces de vie
- Service à table
- Linge de maison fourni par la résidence
- Entretien du linge personnel effectué par un prestataire
- Personnel formé et qualifié
- Equipe pluridisciplinaire : médecin, cadre de santé, infirmières, aides-soignantes, psychologue, psychomotricienne, animatrice,…
- Equipe de nuit : présence d’une infirmière
- Salon Snoezelen
- Salon de coiffure et d’esthétique
- Chapelle
- Célébration du culte catholique
- Possibilité de célébration des autres cultes sur demande
Capacité d’hébergement et tarif de la résidence Jean XXIII
- Capacité d’hébergement : 131 places
- Hébergement temporaire : Non
- Capacité PASA : 14 places
- Tarif journalier = hébergement + ticket modérateur : 72,96€ + 6,33€
Direction de l’établissement Jean XXIII
L’histoire de la résidence jean XXIII
La propriété actuelle trouve ses origines au XIIème siècle, elle appartenait alors à une abbaye. Aux environs du XIXème siècle, deux dames fortunées l’achètent puis demandent à la Compagnie des Filles de la Charité d’y faire l’école et de visiter les malades du village. La propriété devient L’établissement Sainte Geneviève reconnu et autorisé par décret impérial du 16 mars 1860, la Compagnie en devient propriétaire en 1864. Au début du vingtième siècle, après de nombreux travaux, ce domaine est dédié à l’accueil des personnes âgées, à la scolarisation des petites filles, à l’accueil des malades grâce à un dispensaire…
Vers 1960, une nappe d’eau est décelée ; des infiltrations provoquent des fissurent dans les bâtiments. Il faut assainir… détruire. La mairie proche a besoin de la moitié de la propriété pour y bâtir une PMI et l’autre partie sera vendu à la société « les Polyanthias » pour y construire la résidence que nous connaissons. Le dispensaire est alors transféré au domaine des Tournelles, propriété des Filles de la Charité et la maison de retraite est construite dans ce même domaine, au fond du parc voisin de la Roseraie. La résidence a été inaugurée le 1er juin 1966 par Sœur Suzanne Guillemin, supérieure générale des Filles de la charité en compagnie de Monseigneur Feltin Archevêque de Paris. Ayant été appelée par le pape Jean XXIII en qualité d’auditrice au Concile Vatican II, elle voulut honorer celui-ci, initiateur d’un renouveau dans l’Eglise, en donnant son nom à la résidence. L’institution a été gérée jusqu’en 1996 par la Compagnie des Filles de la Charité, date à laquelle l’Association Monsieur Vincent lui a succédé.