FAQ

Ces visites, discrètes mais profondément humaines, s’adressent aux résidents qui restent en chambre. Sans prévenir, les clowns apparaissent, comme une parenthèse inattendue dans le quotidien. Leur venue n’est jamais imposée : si un résident ne souhaite pas les recevoir, ils respectent ce choix. Mais le clown, lui, sait aussi jouer avec les frontières, chercher le lien avec malice, douceur et respect.

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« Le clown entre dans l’instant présent, il cherche le regard, le sourire, le souffle de vie. »

Cette approche, que l’on appelle médiation clownesque, vise à rompre la routine, à réveiller l’émotion, à créer du lien là où la parole parfois se fait rare. Les rencontres sont souvent pleines de tendresse, de poésie, de rires légers ou profonds. Elles laissent une trace, parfois invisible, mais bien réelle.

Les bienfaits sont multiples :

  • Pour les résidents, c’est un moment de reconnexion à soi et aux autres, une surprise qui fait du bien.
  • Pour les soignants, c’est une autre manière de voir les personnes accompagnées, un souffle nouveau dans le quotidien du soin.
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À la Maison Saint-Charles, les clowns ne soignent pas, mais ils éveillent les sourires, suscitent l’émotion et créent du lien. Chaque visite devient un moment à part, une parenthèse bienveillante où la routine s’efface pour laisser place à la rencontre, à la légèreté, et à une forme simple mais précieuse de présence.

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